Les jolis moments humeurs

Mlle Angèle et ses gilets de flanelle.

Ce matin, je me suis surprise à l’annonce de la mort de Jacques Martin. J’avais les larmes aux yeux : c’est comme une part d’enfance qui s’en va.
Je me souviens de toutes ces chansons du Petit Rapporteur qui m’enchantaient gamine : « A la pêche aux moules, moules, moules, je ne veux plus aller » et « je sonne au numéro 9, je demande Mlle Angèle, la concierge me répond mais quel métier fait-elle ».
Je les connais encore par cœur et parfois avec ma sœur on les chante à mes nièces qui nous prennent pour des débiles mais elles rient quand même.
Sans vouloir faire l’ancienne combattante, c’est un certain monde qui s’en va petit à petit, celui des gilets de flanelles, d’une télé drôle et pas racoleuse….
Martin, Serraut, Noiret, les trentenaires ont grandi avec eux et c’est fini.
Allez hop, show must go on : ce soir en famille, je chanterai Mademoiselle Angèle à mes nièces.

7 réflexions au sujet de « Mlle Angèle et ses gilets de flanelle. »

  1. Jacques Martin: toute une époque….Tu oublies l’école des fans et sa façon inimitable de questionner les enfants, de les mettre à l’aise.Ce matin je me suis surprise en train de chanter la pèche aux moules.Encore un ancien qui disparait !!!

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  2. Bon alors pour être franche J Martin j’accroche pas spécialement… En revanche j’adhère à ton mouvement génialissime « Slow Read » ! C’est combien la cotisation ?Et je suppose que tu te régales avec le bouquin en cours… parler du vent, de pas « grand chose », et en faire un livre, réussi en plus, ça c’est le talent non ?

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  3. Vincent: malheureusement vu les liens familiaux de l’ami Jacques avec les plus hautes instances, je ne pense pas que ce fut le cas….Mousse : ah ben oui L’école des fans, des heures de dimanche pluvieux en familleLe chat : Slow Read, j’aime bien ….. on laisse décanter la folie médiatique et on laisse soigneusement mûrir pour voir s’il y a un goût de reviens-y…. Pas de cotisation pour ma banner designer ! J’ai beaucoup aimé son livre, je ne connaissais pas du tout mais quel style, quelle limpidité et surtout finement drole….Cel: c’est ce que je disais à Mousse, les aprèm après les déjeuners du dimanche, mes grand-mères qui riaient de bon coeur…Dolce Vita : tu es la bienvenue

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