Les jolis moments humeurs

L’équation du temps qui passe

Je suis la boussole déboussolée. Je suis le hamster dans sa roue qui tente de trouver le rythme parfait

La journée, mon boss est tout le temps sur mon dos. Je ne vois pas l’intérêt de bosser si je ne peux même plus faire un peu de perso….
Le soir, je quitte le bureau à 18.00 (sous les yeux ébahis de mes collègues), j’arrive à la maison à 18.45, je joue avec Antoine, je donne le bain à Antoine, je donne à manger à Antoine, un petit Trotro/Pingu/Barbapapa et hop au dodo.

J’ai fini de manger, de tout ranger : je m’affale. Il est 21.00 si tout va bien.
Un petit tour sur vos blogs, je laisse de moins en moins de commentaire. Mon cerveau refuse de redémarrer…
J’essaye une tentative de billet : c’est Waterloo morne plaine : rien ne vient, pas la moindre étincelle.
Il est 21.30, ma tête se met à dodeliner comme une petite vieille…..
Je vais lire sous la couette, je m’endors après 30 lignes…
6.45 mon petit réveil joufflu se met en marche

Le week-end, il faut faire les courses, les lessives, le rangement, l’administration…
Le week-end, mon Kulpabilizator intégré me pousse à préparer des purées fraîches pour mon fils … .c’est tellement mieux que les petits pots même bios…
Le week-end, j’ai mon programme « découvrons les parcs parisiens »

Quand je ne travaillais pas, je trouvais le temps long….
Quand je travaille, je ne trouve plus le temps
Qui peut résoudre l’équation ?

20 réflexions au sujet de « L’équation du temps qui passe »

  1. J'ai toujours été mauvaise pour les équations.. cela dit, je viendrais lire les commentaires, au cas où une âme charitable aurait les bonnes réponses !
    J'étais assez dans ton cas les 18-24 premiers mois de ma fille, après j'ai lâché un peu prise, elle a maintenant 10 ans passé, et je dis : vive l'autonomie !
    Mais on manque toujours cruellement de temps pour soi 😦

    J’aime

  2. ça rend dingue, oui, la roue du hamster.
    on y échappe plus ou moins selon les périodes, et fort heureusement.
    Mais globalement, le plus dur je trouve (parce qu'on culpabilise), c'est de se ménager des petits coins de nous, pour ne pas trop en souffrir.
    Vital.

    J’aime

  3. je ne sais pas si ça va t'aider parce que dans le fond tu aurais besoin de journées de 48h… Mais de mon côté je note le matin ce que je veux faire et je partage: aujourd'hui j'ai besoin de lire, bloguer, écouter de la musique… mais je n'ai que 1 heure de vraie pause: ce sera 30min de lecture, 15 min de musique (pendant le repassage de 2 chemises…) et 15 min de blog… je suis moins frustrée parce que j'ai fait un peu de tout.
    bon marathon…

    J’aime

  4. hahaha y a pas d'équation !! suis comme toi à courir après le temps, d'ailleurs un truc mémotechnique qui affole : a chaque fois que tu dis une phrase contenant le mot temps, tu le remplace avec le mot vie et là tu prends peur !! le temps l'ennemie de notre vie ! Bizzz

    J’aime

  5. C'est dur… Heureusement qu'il y a les week-ends pour souffler un peu. Et encore, quand il faut faire les courses, dur de souffler réellement.

    J'ai la chance de résister avec peu de sommeil donc mes soirées semblent plus longues que les tiennes.

    Sinon je cours tout pareil…
    Juste qu'au boulot je prends le temps de faire du perso même si je n'ai pas le temps réellement.

    J’aime

  6. Ca serait tellement merveilleux, s'il existait une équation à appliquer docilement! Je signerais tout de suite, promis!
    J'aime beaucoup lire vos billets depuis la « transformation Antoine », ça me rassure sur mon état, ou pas 😉

    J’aime

  7. En fait, je crois que tu vas avoir longtemps cette impression, d'être un peu « confisquée », de ne plus avoir ni temps ni énergie…
    Mais bon, il y a aussi de bons moments non ?

    J’aime

  8. moins travailler ?
    bon ok je sors 😉

    (tu l'as eu mon texto ? après je me suis dit que je m'étais peut-être trompée de date… 😦 tu vois moi je dodeline de la tête dès le matin 😉

    J’aime

  9. La même sensation de roue qui tourne … dans le vide !
    Te lire me rassure, je ne suis pas la seule donc à me coucher à 21h30 pour tenter de lire quelques pauvres lignes et sentir quelques heures après, mon homme m'enlever le livre, qui s'est endormi avec moi, des mains …
    Ahem je ne suis pas plus vaillante … comme toi je ne trouve plus le temps au travail, le soir ce n'est pas vraiment mieux et le week end je culpabilise à tord et à raison …
    Bref pareil ici aussi chez la figolu family …
    Si quelqu'un connait une méthode magique ??? Je prends aussi

    J’aime

  10. aïe aïe aïe en congé parental depuis la naissance de mes pommes, je trouve déjà que le temps passe trop vite et ne me permets pas de faire tout ce que j'ai à faire et tout ce que j'ai envie de faire, alors qu'est-ce que ça va être quand je vais retourner au boulot dans 6 mois… aïe aïe aïe… je compatis.

    J’aime

  11. Problème! J'ai essayé les deux et décidé qu'il doit y avoir une solution quelque part au milieu, j'ai passé le cap des 60 et ne l'ai toujours pas trouvé, ce milieu… amitié et bonne chance pour la recherche! Martine

    J’aime

  12. Je n'ai pas la solution. Mes enfants sont grands, je ne bosse pas pour l'instant mais je cours toujours après le temps. Je crois qu'il faut se fixer des priorités et pour moi, blogger ou laisser des commentaires quand je cours trop n'en est pas une !
    PS : mais je trouve toujours le temps de découvrir de nouveaus blogs, alors à très vite !

    J’aime

  13. Je travaille à temps plein mais de nuit, j'alterne les semaines de 24h, de 60h puis 5 ou 10 jours de repos. Les enfants sont à l'école ou à la crèche et pendant mes congés, j'ai tout mon temps. Je culpabilise sur les traces de lait sur les murs qui devraient être nettoyées pendant que je bouquine sur mon canapé. Je suis en tête à tête avec ma maison, oscillant entre ce que je devrais faire, que je fais par intermittence, et mes passe-temps. A côté de ça, je travaille un week-end sur trois, j'ai un rythme décousu (je vais parfois me recoucher après avoir emmené les enfants à l'école et je peux m'endormir très tard comme très tôt).
    ça me convient même si j'ai parfois l'impression de vivre sur une autre planète. Le temps passe toujours trop vite malgré tout, mais prendre son temps c'est s'autoriser beaucoup de liberté…
    je te souhaite de trouver la bonne équation qui ira bien avec tes désirs et ta famille.

    J’aime

  14. Tout comme toi Miss Zen j'essaye de bluffer le temps. En préparant la table du petit déjeuner juste après avoir débarrassé celle du dîner par exemple… ok c'est pas très glamour mais je grapille quelques précieuses secondes pour le sprint du matin. Sinon je vais bientôt tenter quelque chose de plus radical : travailler à temps partiel après 11 ans de bons et loyaux services dans un job chronophage… c'est une façon d'acheter du temps pour peindre et dessiner (mon autre job)et ainsi éviter de finir toute aigrie (je sens que ça vient il est temps que je sauve ma peau 😉 Bon courage à toi dans ton chemin vers… toi !

    J’aime

  15. Marigaz : vive l'autonomie mais bon c'est par pour de tout de suite donc faut chercher une autre solution….

    May : cette roue qui tourne frénetiquement et quand elle s'arrête, elle nous laisse pantelante et désorientée. Pour l'instant, mes breaks sont les siestes du week-end, pourvu que cela continue…

    Fanny : pas mal ton truc. Je crois qu'une des solutions, c'est éffectivement « la concentration ». Ne pas sauter de taches en taches, sans rien finir. Mais se dire : OK maintenant pendant 15 minutes, je lis ou je prépare les biberons. Faire une chose à la fois mais à fond….

    Pinassotte : le temps qui file ou qui plombe : impossible à gèrer, impossible à dompter !

    MissBrownie : moi aussi je grapille au boulot dès que je peux. J'essaye de me remémorer mes priorités, ça m'aide à mieux gèrer la pression. Mais parfois, je me laisse emporter !

    DesMoulins : merci. Tu voulais dire depuis le tsunami Antoine ! Je crois que c'est important de partager sincerement l'expèrience de la maternité loin des falabalas merveilleux des magazines, de la publicité. Car non : tout n'est pas que merveille au royaume des bébés.

    Fauvette : oui « confisquée », c'est bien le mot. Bien sûr, il y a de plus en plus de bons moments !

    Le Chat : je crois bien que ce serait le sésame !!!!

    Trompoline : oh oui surtout avec ces rythmes parisiens, ce besoin de rester tard pour prouver qu'on est important, indispensable. Je déteste cette mentalité.

    Mlle Figolu : nous voila à deux dans le même bateau mais je pense qu'il faudrait mieux prévoir un porte-avion car d'autres jeunes mères voudront peut-être nous rejoindre…..

    Minute d'automne : mais tu jongles entre des jumelles : je compatis ! Tu sais on gère, c'est pas facile mais on tient la barre.

    Martine : tu ne me rassures pas !!!

    Lolotte : et oui, chacune doit trouver sa propre solution pas de recette universelle.

    Coquillette : travailler la nuit, ça ne doit pas être évident non plus… Mais tu as raison, il faut poser soi même les limites pour se dégager du temps, pas de baguette magique, mais de la volonté et de la discipline…..

    Chacha : bravo. J'espère suivre ton exemple bientôt.

    J’aime

  16. Marigaz : vive l'autonomie mais bon c'est par pour de tout de suite donc faut chercher une autre solution….

    May : cette roue qui tourne frénetiquement et quand elle s'arrête, elle nous laisse pantelante et désorientée. Pour l'instant, mes breaks sont les siestes du week-end, pourvu que cela continue…

    Fanny : pas mal ton truc. Je crois qu'une des solutions, c'est éffectivement « la concentration ». Ne pas sauter de taches en taches, sans rien finir. Mais se dire : OK maintenant pendant 15 minutes, je lis ou je prépare les biberons. Faire une chose à la fois mais à fond….

    Pinassotte : le temps qui file ou qui plombe : impossible à gèrer, impossible à dompter !

    MissBrownie : moi aussi je grapille au boulot dès que je peux. J'essaye de me remémorer mes priorités, ça m'aide à mieux gèrer la pression. Mais parfois, je me laisse emporter !

    DesMoulins : merci. Tu voulais dire depuis le tsunami Antoine ! Je crois que c'est important de partager sincerement l'expèrience de la maternité loin des falabalas merveilleux des magazines, de la publicité. Car non : tout n'est pas que merveille au royaume des bébés.

    Fauvette : oui « confisquée », c'est bien le mot. Bien sûr, il y a de plus en plus de bons moments !

    Le Chat : je crois bien que ce serait le sésame !!!!

    Trompoline : oh oui surtout avec ces rythmes parisiens, ce besoin de rester tard pour prouver qu'on est important, indispensable. Je déteste cette mentalité.

    Mlle Figolu : nous voila à deux dans le même bateau mais je pense qu'il faudrait mieux prévoir un porte-avion car d'autres jeunes mères voudront peut-être nous rejoindre…..

    Minute d'automne : mais tu jongles entre des jumelles : je compatis ! Tu sais on gère, c'est pas facile mais on tient la barre.

    Martine : tu ne me rassures pas !!!

    Lolotte : et oui, chacune doit trouver sa propre solution pas de recette universelle.

    Coquillette : travailler la nuit, ça ne doit pas être évident non plus… Mais tu as raison, il faut poser soi même les limites pour se dégager du temps, pas de baguette magique, mais de la volonté et de la discipline…..

    Chacha : bravo. J'espère suivre ton exemple bientôt.

    J’aime

  17. Marigaz : vive l'autonomie mais bon c'est par pour de tout de suite donc faut chercher une autre solution….

    May : cette roue qui tourne frénetiquement et quand elle s'arrête, elle nous laisse pantelante et désorientée. Pour l'instant, mes breaks sont les siestes du week-end, pourvu que cela continue…

    Fanny : pas mal ton truc. Je crois qu'une des solutions, c'est éffectivement « la concentration ». Ne pas sauter de taches en taches, sans rien finir. Mais se dire : OK maintenant pendant 15 minutes, je lis ou je prépare les biberons. Faire une chose à la fois mais à fond….

    Pinassotte : le temps qui file ou qui plombe : impossible à gèrer, impossible à dompter !

    MissBrownie : moi aussi je grapille au boulot dès que je peux. J'essaye de me remémorer mes priorités, ça m'aide à mieux gèrer la pression. Mais parfois, je me laisse emporter !

    DesMoulins : merci. Tu voulais dire depuis le tsunami Antoine ! Je crois que c'est important de partager sincerement l'expèrience de la maternité loin des falabalas merveilleux des magazines, de la publicité. Car non : tout n'est pas que merveille au royaume des bébés.

    Fauvette : oui « confisquée », c'est bien le mot. Bien sûr, il y a de plus en plus de bons moments !

    Le Chat : je crois bien que ce serait le sésame !!!!

    Trompoline : oh oui surtout avec ces rythmes parisiens, ce besoin de rester tard pour prouver qu'on est important, indispensable. Je déteste cette mentalité.

    Mlle Figolu : nous voila à deux dans le même bateau mais je pense qu'il faudrait mieux prévoir un porte-avion car d'autres jeunes mères voudront peut-être nous rejoindre…..

    Minute d'automne : mais tu jongles entre des jumelles : je compatis ! Tu sais on gère, c'est pas facile mais on tient la barre.

    Martine : tu ne me rassures pas !!!

    Lolotte : et oui, chacune doit trouver sa propre solution pas de recette universelle.

    Coquillette : travailler la nuit, ça ne doit pas être évident non plus… Mais tu as raison, il faut poser soi même les limites pour se dégager du temps, pas de baguette magique, mais de la volonté et de la discipline…..

    Chacha : bravo. J'espère suivre ton exemple bientôt.

    J’aime

  18. Je viens de temps en temps lire ton blog même si je commente peu. Je suis jeune maman (depuis 14 mois) et blogueuse comme toi et j'ai parfois l'impression de manquer de temps… Il y a pourtant des petits ajustements simples à faire pour s'y retrouver :
    – donner le bain à Antoine un jour sur deux : les jours « off » on est plus relax et on joue plus !
    – purées maison en grosse quantité à congeler, et les légumes que tu ne mixes pas, tu les manges toi !
    – si tu as un parc, essaie de le poser dedans. Au bout d'un moment tu le verras jouer seul et tu pourras « vaquer » à côté de lui (lancer une machine, faire la cuisine, un brin de ménage…) un peu chaque jour c'est toujours mieux que tout le weekend !

    Voilà quelques conseils, il y en aurait plein d'autres mais moi aussi je dois travailler !

    Bon courage 🙂

    J’aime

Laisser un commentaire